Nos savoir faire
On ne travaille pas le verre, on danse avec
Notre verrerie a su conserver son caractère traditionnel, et ses valeurs historiques. Sa mémoire en somme, tout ce qui fait son ADN. Si le travail du verre s’est en effet considérablement modernisé et mécanisé, nous n’oublions pas nos racines. La Rochère s’attache en effet à façonner des assemblages équilibrés, entre ingénierie innovante et sensibilité artistique. Nous nous efforçons d’ailleurs de promouvoir les savoir-faire traditionnels du métier de verrier en accueillant dans notre atelier plus de 70 000 visiteurs par an. Nous avons plaisir à partager avec vous notre cœur de métier, la passion qui nous anime.
Nos savoir faire
Le verre pressé
En diversifiant son activité, La Rochère est devenue spécialiste du verre pressé, développant des outils de production mécanique performants. Tournée vers l’innovation et l’ingénierie, l’entreprise se réinvente au fil du temps pour s’inscrire toujours dans son époque. La spécificité de notre procédé de fabrication, hérité de gestes artisanaux, donne à nos verres de quotidien, un caractère singulier et robuste, qui tient aussi au design. Forte de ses atouts techniques et de sa souplesse de fabrication unique, La Rochère réalise aussi des créations sur mesure pour des marques prestigieuses. Pour visiter La Rochère, rendez-vous sur visiterlarochere.com
Nos savoir faire
Le cristallin soufflé-bouche
Hérité de plus de 5 siècles de passion, travail de savoir-faire et de patience, la Verrerie est un art exigent. Le métier requiert ainsi environ 10 années de formation avant d’obtenir une parfaite maîtrise des outils et matériaux. Ces savoir-faire traditionnels sont précieux et offrent des résultats remarquables. Ils s’expriment aujourd’hui à travers des créations dans des domaines aussi divers que l’art de la table, le luminaire, oules objets décoratifs, ou les objets sur-mesure. La Rochère est fière de conserver cette activité historique artisanale rare et de vous faire découvrir nos métiers lors de visite sur notre site.
